A Calais, Londres finance l’édification d’un mur végétalisé en béton haut de 4 mètres et long de 1 kilomètre pour sécuriser la RN16, la nationale qui mène au port et longe la « jungle », le bidonville où vivent 6 900 réfugiés selon la préfecture (plus de 9 000 selon des associations) désireux, dans leur grande majorité, de se rendre au Royaume-Uni.

Le mur, d’un coût de 2,7 millions d’euros, doit également être équipé de caméras de surveillance.