Devenue un symbole des victimes de violence conjugale, Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari et partiellement graciée par le président, a vu une nouvelle fois rejetée sa demande de libération conditionnelle, jeudi 24 novembre.

Après un premier refus du tribunal d’application des peines de Melun (Seine-et-Marne) le 12 août dernier, c’est la cour d’appel de Paris qui à son tour a rejeté cette demande d’aménagement de peine, à laquelle le parquet général ne s’était pourtant « pas opposé ». L’arrêt rendu à huis clos était en train d’être communiqué aux avocates de Jacqueline Sauvage.