Condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari violent, elle avait obtenu en janvier une grâce partielle et avait renoncé à se pourvoir en cassation après le rejet de de sa demande de libération conditionnelle.

« J’ai décidé d’accorder à Jacqueline Sauvage une remise gracieuse du reliquat de sa peine. Cette grâce met fin immédiatement à sa détention », a écrit le chef de l’Etat sur son compte Twitter.