O21 à Cenon | CAMILLE MILLERAND / ©Camille Millerand

Pour aider les lycéens et les étudiants à comprendre le monde de demain, et faire les bons choix aujourd’hui, Le Monde a créé « O21, s’orienter au XXIe siècle », dont la première édition à Paris se tient à la Cité des sciences et de l’industrie, après trois étapes, à Lille, Bordeaux et Villeurbanne. Deux jours pendant lesquels ils pourront échanger avec des dizaines d’acteurs locaux innovants, qu’ils soient de l’enseignement supérieur, du monde de l’entreprise ou des start-up.

Entre deux tables rondes, les participants peuvent rencontrer les nombreux intervenants et participer à des ateliers. L’entrée est gratuite, la préinscription recommandée (lien ci-dessous), et chacun est libre d’assister à une ou plusieurs conférences et ateliers.

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O21 en 45 secondes
Durée : 00:47

Voici le détail des conférences prévues à Paris, la liste des intervenants pour chacune d’elles sera dévoilée mercredi 22 février :

Samedi 4 mars, 9 h 30 - 11 heures

A qui me fier ? Mes notes, mes potes, mes rêves ?

► Une conférence pour apprendre à mieux se connaître

Les voies royales scolaires ne sont plus forcément des voies royales professionnelles. Le monde change si vite que plus personne ne détient la vérité absolue. Comment choisir sa voie quand on est au lycée ? Comment l’affiner quand on est étudiant ? Comment faire la part des choses entre ce que conseillent les amis, les parents et les enseignants ? Les changements de voie sont-ils possibles ?

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Samedi 4 mars, 11 h 30 - 13 heures

Entre « fun » et « safe », jusqu’où prendre des risques ?

► Une conférence pour apprendre à mesurer les risques.

Que ce soit après le bac ou à l’entrée dans la vie active, faut-il privilégier la sécurité au risque de l’ennui, ou le « fun », et tant pis si ça rassure moins ? Créer son entreprise donne-t-il toujours la liberté espérée ? Quels espaces de liberté offrent le service public ?

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Samedi 4 mars, 14 heures - 15h30

Tous les métiers transformés par le numérique... Vraiment ?

► Une conférence pour choisir des études et un métier qui ne seront pas remplacés par des algorithmes (ou pas tout de suite).

Des enquêtes plus ou moins alarmistes annoncent que robots et algorithmes remplaceront les humains dans un nombre croissant de métiers. L’automatisation créera aussi de nouveaux emplois : lesquels ? Où se former pour les exercer ? Quel sera l’impact du numérique dans les domaines d’études ou les métiers autres que technologiques – en droit, médecine, commerce, etc.

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Samedi 4 mars, 16 heures - 17h30

Big data, code....Comment profiter du boom des nouvelles technologies ?

► Une conférence pour savoir comment profiter du boom de la « tech », même quand on n’est pas un « geek ».

Beaucoup de métiers « tech » recrutent. Quels sont-ils ? Cela peut-il me concerner même si je ne suis pas « geek » ? Que font-ils de leurs journées ? Pourquoi est-ce peut-être encore plus un eldorado pour les filles, aujourd’hui très minoritaires ? Et, si je n’ai pas la bosse des maths, que faire ?

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Dimanche 5 mars, 9 h 30-11 heures

La créativité, ça s’apprend ?

► Une conférence pour comprendre que la créativité n’est pas l’apanage des artistes, qu’elle s’apprend et qu’elle sera requise dans un nombre croissant de métiers.

Face à l’automatisation annoncée de nombreux métiers et tâches, la créativité devient une compétence cardinale. Tous les métiers seront-ils touchés ? La place des artistes va-t-elle changer, des arts visuels au théâtre en passant par la création audiovisuelle ? Au fait, peut-on vraiment apprendre à être créatif ? Comment les écoles et universités le font-elles ?

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Dimanche 5 mars, 11h30 - 13 heures

Comment éviter l’autocensure ?

► Une conférence pour découvrir comment chacun peut briser son « plafond de verre ».

« Je pense que ce n’est pas fait pour moi. » Mais pourquoi ? Par ce que je n’ai pas le niveau ? Ou parce que quelque chose en moi ou autour de moi m’interdit d’y croire. Pourquoi par exemple dans le numérique, source d’emplois pour demain, les filles sont aujourd’hui très minoritaires ? »

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Dimanche 5 mars, 14 heures - 15h30

Certains métiers ont-ils plus de sens ?

► Une conférence pour celles et ceux qui ne veulent pas perdre leur vie à la gagner.

Les jeunes affirment privilégier les métiers qui donnent du sens à la vie. Qu’est-ce que cela signifie ? Certains métiers ont-ils plus de sens que d’autres ? Certaines formations sont-elles plus adaptées pour accéder à ces métiers ? Peut-on apprendre différemment ?

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Dimanche 5 mars, 16 heures - 17h30

Finalement, comment se forme-t-on le mieux pour demain ?

► Une conférence pour découvrir les meilleures façons de se former après le bac… et toute la vie.

Si les voies royales n’existent plus, s’il faut être entrepreneur de sa propre vie, si la robotisation des métiers rebat les cartes des études et de l’orientation, s’il est plus compliqué de trouver sa place, alors, où se forme-t-on le mieux aujourd’hui pour le monde qui vient ?

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Pour irriguer les échanges, des vidéos tirées des entretiens que nous avons menés avec trente-cinq personnalités, acteurs ou témoins du monde qui vient : des responsables académiques comme François Taddei (Centre de recherches interdisciplinaires – Paris 5), John Hennessy (Stanford), Peter Dillenbourg (Ecole polytechnique fédérale de Lausanne), Jean-François Ouellet (HEC Montréal) ; des chefs d’entreprises comme Sébastien Bazin (Accor), Xavier Niel (Free), Frédéric Mazzella (BlaBlaCar) et Bertin Nahum (MedTech-zimmer) ; des startuppers comme Pierre Dubuc (OpenClassrooms), Laure Courty (jestocke.com), Philippe Wagner (Captain Contrat), Valentin Stalf (N26, Allemagne), Marita Cheng (2Mar Robotics), Pandora Samios (Smarty Crew), Tatiana Jama (Selectionnist), Thoams Schenck (Connect’O), Sylvain Kakache (Holberton School), Thomas Samuel (Sunna Design), Ben Rattray (change.org) des investisseurs comme Marie Ekeland (Daphni), Ory Okolloh (Omidyar Network, Kenya) ; des entrepreneurs sociaux comme Ismaël Le Mouel (Hello Asso), Amélie Edoin (Labo des histoires) et Charles Edouard Vincent (Lulu dans ma rue) des « king coders » comme Paul Duan (Bayes impact) et Louison Dumont (Hirepeter) des fondateurs d’associations comme Aimée Van Wynsbergh (society of responsible Robotics – Pays-Bas) et Ludwine Probst (Lady of code Paris) des responsables d’incubateurs comme Sename Koffi Agbodjinou (Welab, Togo) et Lise Damelet (incubateur du barreau de Paris) des scientifiques et penseurs comme Pascal Picq (paléoanthropologue), Cédric Villani (mathématicien), Boris Cyrulnik (psychiatre), Henri Atlan (médecin et philosophe), Joël de Rosnay (prospectiviste).

Placé sous le haut patronage du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, O21 est également soutenu, au niveau national, par quatre établissements d’enseignement supérieur (Audencia, l’Essec, l’Epitech, et l’alliance Grenoble Ecole de managementEM Lyon) et un sponsor principal, leboncoin.