La banquise fond à vitesse grand V, 88 % des Français pensent que les choses « n’avancent pas assez vite » en matière d’environnement, et pourtant les écologistes français n’ont jamais récolté plus de 5,2 % des suffrages à l’élection présidentielle.
Yannick Jadot rejoint Benoît Hamon : il n’y aura aucun candidat sous bannière écologiste en 2017, une première depuis 1969.

Serait-ce la faute d’un parti trop opposé au collectif pour savoir porter un candidat unique ? Ou d’un mouvement trop jeune, qui aurait encore besoin de faire ses preuves ? Ces explications, souvent avancées par les candidats écologistes eux-mêmes, ne tiennent pas. Le pôle vidéo du Monde a voulu y voir plus clair.