L’information circulait depuis quelques jours déjà, Manuel Valls l’a officialisée mercredi 29 mars : il votera pour Emmanuel Macron dès le premier tour de l’élection présidentielle et refuse de soutenir le candidat socialiste, Benoît Hamon. Au cours de la primaire à gauche, l’ancien premier ministre s’était pourtant engagé à se ranger derrière le vainqueur. Cette décision peut-elle provoquer l’implosion du PS ? L’analyse de Bastien Bonnefous, journaliste au service politique du Monde.

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