La campagne de l’élection présidentielle est désormais marquée par l’attaque perpétrée jeudi 20 avril sur les Champs-Elysées par un assaillant, qui a tué un policier et en a blessé deux autres à l’arme automatique. Une passante a également été touchée.

Pour Benoît Hamon, « ce que veulent les terroristes, au-delà de tuer, c’est nous abattre collectivement ». Emmanuel Macron propose, lui, s’il est élu une « task force anti-Daech », tandis que François Asselineau redoute que l’attentat mette à mal « la réflexion » autour du vote. Marine Le Pen a, elle, choisi de dénoncer ce qu’elle considère être « les mesures défaillantes » du gouvernement actuel.