Theresa May a perdu son pari lors des législatives au Royaume-Uni, le 8 juin. Les conservateurs auront moins de sièges à l’Assemblée. Si les estimations de votes les placent en tête, ils perdent leur majorité absolue. Lors de sa première réaction dans la nuit du 9 juin, la première ministre était tellement embarrassée qu’elle n’évoque même pas la prochaine perte d’influence de son parti à l’Assemblée.

Jeremy Corbyn, leader du Labour, a renforcé sa position dans l’échiquier politique britannique. Le leader travailliste est apparu triomphant après le scrutin et a demandé la démission de Mme May.