Des parachutistes français forment des membres du contre-terrorisme irakien, le 11 avril 2016, à Bagdad. / VALERIE LEROUX / AFP

Le président Emmanuel Macron a annoncé, samedi 23 septembre au soir, la mort d’un « adjudant du treizième régiment de dragons parachutistes », « tué au combat » dans la zone irako-syrienne le matin même. Ce régiment appartient aux forces spéciales françaises, officiellement présentes ni en Syrie ni en Irak.

« Lutte contre la barbarie »

Dans un communiqué publié par l’Elysée, le chef des armées « salue le sacrifice » de ce soldat, « tué dans l’accomplissement de sa mission pour la défense de notre pays, la protection de nos concitoyens et la lutte contre la barbarie ». M. Macron exprime aussi « sa confiance et sa fierté aux militaires français qui combattent avec courage et abnégation les groupes terroristes au Levant comme au Sahel ».

Selon des sources militaires contactées par l’Agence France-Presse, c’est la première fois qu’un soldat français est tué dans cette zone irako-syrienne depuis le début de l’opération Chammal, en septembre 2014.