La dispersion des voix de droite a pénalisé la liste conduite par le président (LR) du conseil départemental, Bernard Bonne, avec le soutien des maires (LR) de Saint-Etienne et de Roanne. Arrivée largement en tête, elle échoue dans sa conquête d’un second siège qui échoit au sénateur sortant, Bernard Fournier, qui avait fait liste dissidente. Il sauve son fauteuil de 7 voix. Socialistes et communistes réussissent à conserver un siège chacun. Un de moins que précédemment. Malgré le ralliement du sénateur sortant, Maurice Vincent, ancien maire (PS) de Saint-Etienne, La République en marche échoue. Tout comme le Front national, dont l’influence reste très restreinte dans ce collège électoral.