L’équipe de France s’est qualifiée pour sa sixième Coupe du monde d’affilée en finissant première de son groupe grâce à sa victoire, mardi 10 octobre, contre le Belarus (2-1), sans éteindre le débat sur son jeu.

Didier Deschamps avait annoncé pour mardi « un peu de fraîcheur » dans son onze de départ, par rapport au 4-3-3 de la bataille de Sofia, et est revenu à son 4-4-2 préférentiel depuis l’Euro 2016 en remettant Giroud en selle, aux côtés de Griezmann, tous deux épaulés par Coman et Lemar.

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Et Griezmann et Giroud ont répondu présent : le premier a ouvert le score (27e), servi en profondeur par Matuidi (encore décisif après son but à Sofia).

Le deuxième, servi par son complice dans une action un peu similaire, a doublé la mise peu après (33e), avec un peu dé réussite.

La Biélorussie, qui a défendu crânement ses chances, a réussi à réduire le score par Saroka (44e), un but venu du côté de Digne, apparu moins serein que samedi. Aucun but ne sera inscrit en seconde mi-temps.

« On est en Russie ! On est en Russie ! », a chanté le Stade de France dans le temps additionnel, avant d’exploser au coup de sifflet final, et de vibrer au son d’une musique russe traditionnelle et d’un clapping en chœur avec les joueurs.