Rassemblement devant le tribunal d’Istanbul où s’est déroulé, le 25 octobre, le premier jour du procès de onze militants des droits de l’homme. / Lefteris Pitarakis / AP

Un tribunal d’Istanbul a ordonné dans la soirée du mercredi 25 octobre la libération conditionnelle de huit militants des droits de l’homme, dont Idil Eser, directrice d’Amnesty International (AI) en Turquie, ainsi qu’un ressortissant allemand et un Suédois.

La justice a en revanche demandé le maintien en détention de Taner Kiliç, président d’AI dans le pays. Les accusés sont poursuivis pour activités « terroristes » dans ce procès qui suscite l’inquiétude de la communauté internationale et a tendu les rapports déjà crispés entre la Turquie et l’Allemagne.

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