Alors qu’elle participait à la commission d’enquête sur la sûreté nucléaire, Perrine Goulet a proposé, le 22 mars, d’autoriser l’usage d’armes à feu en cas d’intrusion sur des sites nucléaires.

Greenpeace, dont des militants s’introduisent régulièrement dans des centrales nucléaires pour en démontrer les failles de sécurité, va porter plainte pour « incitation au meurtre ».

« Je n’ai évidemment jamais appelé au meurtre de militants d’ONG », s’est défendue la députée LRM Perrine Goulet, qui a précisé qu’elle souhaitait que les forces de sécurité au sein des centrales nucléaires, formées à l’usage des armes à feu, puissent simplement neutraliser les intrus.