L’ancien vice-président de la RDC a annoncé, mardi 24 juillet, à Bruxelles qu’il se présenterait comme candidat à l’élection présidentielle du 23 décembre et qu’il rentrerait à Kinshasa début août pour déposer sa candidature.

En juin, l’ancien chef rebelle a été acquitté en appel par la Cour pénale internationale, qui a conclu qu’il ne pouvait être tenu pénalement responsable des crimes commis par ses troupes en Centrafrique en 2002-2003.

Le même jour, à Paris, le directeur de cabinet et l’avocat de Moïse Katumbi, opposant en exil en Belgique depuis 2016, ont également annoncé le retour de l’ancien proche de Joseph Kabila en RDC pour qu’il dépose lui aussi sa candidature à la présidentielle.