Pour commémorer le centenaire de la première guerre mondiale, Emmanuel Macron s’est lancé, à partir du 5 novembre, dans une semaine de pèlerinage dans les territoires qui ont été le théâtre de batailles historiques. Au programme : cérémonies militaires, dépôt de gerbes et minutes de silence.

Le président de la République a toutefois été à plusieurs reprises confronté à des expressions de colère, contre le faible montant des retraites ou la cherté des carburants, à une semaine d’un appel à bloquer les routes, le 17 novembre. Le chef de l’Etat a dû également s’expliquer sur la controverse suscitée par ses propos sur le maréchal Pétain, assurant qu’il n’avait « jamais été question d’une célébration individuelle » du soldat de 14-18, devenu le chef du régime collaborationniste de Vichy.