Chaque année, environ cent cinquante portraits-robots sont réalisés, le plus souvent pour des cas de braquage, d’agression ou de viol. Sur ordinateur, un portraitiste est chargé d’aider une victime ou un suspect à se souvenir.

Utilisé depuis les années 1950, le portrait-robot visuel est aujourd’hui concurrencé par une nouvelle méthode, qui s’appuie sur des tests génétiques. Grâce aux traces d’ADN laissées sur la scène de crime, les enquêteurs sont capables de déterminer des caractéristiques physiques du suspect, comme l’âge, la couleur des cheveux ou des yeux, le sexe ou les origines. Et cette technique ne cesse de s’améliorer.

Si les affaires résolues par le seul recours au portrait-robot sont extrêmement rares, la méthode reste appréciée des enquêteurs. Pourquoi ? Voici nos explications, en vidéo.