Manifestation devant la cour d’appel de Casablanca, en soutien aux militants du mouvement Hirak. / FADEL SENNA / AFP

Nasser Zefzafi et ses compagnons du mouvement de protestation du Hirak (« la mouvance »), ayant agité le nord du Maroc en 2016-2017, ont vu leurs peines confirmées en appel vendredi 5 avril par la cour d’appel de Casablanca.

Le jugement, qui confirme des peines allant jusqu’à 20 ans de prison pour « complot visant à porter atteinte à la sécurité de l’Etat », a été accueilli par des cris de colère et de déception par les familles des quarante-deux militants, réunies dans la salle d’audience après cinq heures de délibéré et quatre mois de procès.

Au Maroc, indignation après la condamnation des meneurs du Hirak