Au volant de la Toyota n° 8, l’Espagnol Fernando Alonso, le Japonais Kazuki Nakajima et le Suisse Sébastien Buemi ont remporté les 24 Heures du Mans, comme en 2018. / David Vincent / AP

C’est une crevaison à une heure de l’arrivée de la course qui a finalement décidé du vainqueur de l’édition 2019 des 24 Heures du Mans et « tranché » dans le duel qui opposait depuis de longues heures deux Toyota. Ce sont finalement l’ex-pilote de F1, l’Espagnol Fernando Alonso et ses coéquipiers, le Japonais Kazuki Nakajima et le Suisse Sébastien Buemi, qui l’ont emporté au volant de leur Toyota n° 8.

Ils ont devancé Mike Conway, Kamui Kobayashi et l’Argentin José Maria Lopez, au volant de la Toyota n° 7, qui, partis en pole position samedi, avaient fait toute course en tête. Jusqu’à ce que, à une heure de la fin de la course, Jose Maria Lopez soit soudainement contraint de ralentir et s’arrêter au stand pour changer un pneu crevé.

Le résultat 2019 est donc identique à celui de 2018 : la Toyota n° 8 avait déjà remporté les 24 Heures l’an dernier en devançant la n° 7, les mêmes pilotes étant aux commandes dans les deux voitures du constructeur japonais.